Les activités des Amis du Mucem
Visite
Sortie
Voyage
Conférence
Action des Amis
Café littéraire
Lectures gourmandes
Event in english
Jeunes Amis
Voici quelques dates à retenir et à noter pour participer aux activités de la Société des Amis du Mucem et à la vie culturelle et artistique de notre région.
Contact :
|
|
vendredi 18 octobre : Jardins des migrations |
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
Jardin_des_migrations
... Lire la suite ...
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
|
|
vendredi 18 octobre : Conférence UTL : « Méditerranées ». Le patrimoine antique au musée, histoire des collections et enjeux identitaires |
par Enguerrand Lascols, conservateur au Mucem et Co-commissaire de l’exposition
Erechteion
... Lire la suite ...
Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples, et tous ne peuvent être montrés dans une unique exposition. « Méditerranées » s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées, en découvrant comment l'histoire des arts et l’ethnologie ont participé à créer ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites. Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur les premières et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.
|
|
samedi 19 octobre : Balade littéraire et maritime |
IMG_20191220_163152
1544351326213 (1)
... Lire la suite ...
Vous rêvez d'un moment d'évasion, nous vous invitons à une balade littéraire et maritime en compagnie d'auteurs qui ont évoqué Marseille, le Vieux-Port, la Méditerranée, lus par un comédien ou une comédienne. La lecture des textes (extraits de romans, mais aussi des chansons...Jean-Claude Izzo, Jack London, Albert Camus, Marguerite Yourcenar, Simone de Beauvoir) est ponctuée d'un choix de musiques variées (jazz, musique classique, variétés, folklore).
Après la traversée du Vieux-Port, passant entre le Fort Saint-Jean, le Fort Saint-Nicolas et le Palais du Pharo, nous prendrons la direction du Cap Croisette, à moins que nous voguions vers la Côte Bleue ou le Phare de Planier. Vous le saurez à l'embarquement.
Cette balade se fait en partenariat avec le COBIAC, Collectif des Bibliothécaires et Intervenants en Action Culturelles.
|
|
mercredi 23 octobre : Une journée à Carpentras |
La Synagogue, la Bibliothèque Inguimbertine
cj2017_renovation-synagogue-carpentras-ciel-etoile_600px2 (1)
INGUIMBERTINE 1.jfif
... Lire la suite ...
Matin : 10h30 visite de la Synagogue (visite en deux groupes)
Carpentras a connu un statut particulier du fait de l'installation de la papauté dans le Comtat de Venessin au XIVe siècle. Chassés du Royaume de France en 1306, les Juifs s'installent dans les Etats du Pape à Carpentras dans le quartier de la Carrière. En effet depuis 1326, les papes permettent aux juifs de résider dans le Comtat sans être inquiétés.
La Synagogue de Carpentras est la plus ancienne synagogue de France toujours en activité. Edifiée par les Juifs comtadins en 1367, elle a été reconstruite et agrandie au XVIIIe siècle et a fait, entre 2017 et 2019, l'objet de travaux de sauvegarde et d'aménagement.
Outre la salle de prières, connue pour sa voûte étoilée, la synagogue est dotée d'un mikvé (slle d'ablution rituelle) en excellent état de conservation, et de deux boulangeries, Son architecture et sa décoration intérieure sont un chef d'oeuvre de l'art religieux rococo du XVIIe siècle. Classé Monument historique en 1924.
12h30 : déjeuner au Bistrot de la Place
Après-Midi : 14h30 visite de la Bibliothèque Inguimbertine (visite en deux groupes)
Conçue sur un modèle unique, imaginé par son fondateur Monseigneur d’Inguimbert au XVIIIe siècle, elle réunit une collection de livres, objets et œuvres d’art au cœur d’un bâtiment construit par le même personnage : l’Hôtel Dieu de Carpentras.
À Carpentras, la création de la bibliothèque-musée est liée à la personnalité de Monseigneur d’Inguimbert, natif de Carpentras. Cet humaniste devenu évêque de sa ville natale, à son retour d’un long séjour à Rome, conçoit un grand dessein pour son diocèse. " Il veut associer le corps et l’esprit, et mettre à disposition la manne dont il dispose au bénéfice de deux institutions : un Hôtel-Dieu pour soigner, une bibliothèque-musée pour former et éduquer" résume Jean-François Delmas, conservateur de l’Inguimbertine. La visite de la bibliothèque Inguimbertine nous apprendra le mouvement européen des XVIIe et XVIIIe siècles où l'on voit se développer d'une part l'ouverture de maisons pour nécessiteux (charité ou Hôtel Dieu) et d'autre part, "l'éveil de l'intelligence grâce au monde des livres".
L’Inguimbertine aujourd’hui, est une bibliothèque de lecture publique, multimédia, mais possède aussi des fonds patrimoniaux, qui relèvent de la bibliothèque ou du musée. Aujourd’hui, en lecture publique, 80 000 documents sont en libre accès, Les fonds patrimoniaux de L’Inguimbertine comptent 50 000 ouvrages, dont un peu plus de 3 000 manuscrits, 1 200 tableaux, 500 sculptures, 40 000 documents d’arts graphiques, plus de 30 000 objets lapidaires, 10 000 monnaies et médailles.
|
|
jeudi 24 octobre : Visite Mucem : Revenir |
Commentée par Camille Faucourt
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji
... Lire la suite ...
Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji
Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.
L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.
Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles.
|
|
vendredi 25 octobre : Visite Mucem : Revenir |
Commentée par Camille Faucourt
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji
... Lire la suite ...
Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji
Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.
L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.
Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles.
|
|
lundi 4 novembre - samedi 9 novembre : Voyage à Tunis – Carthage - Sidi Bou Said |
A l’occasion de l’exposition « Salammbô » au Musée du Bardo
Bardo
Carthage
Sidi_Bou_Said
... Lire la suite ...
Le but de ce voyage est de découvrir, à l’occasion de l’exposition Salammbô dont Myriame Morel est Co-commissaire :
Le musée du Bardo situé dans un ancien palais du XIXème siècle à Tunis. Second musée du Continent africain après le musée Egyptien du Caire il est l’un des plus riches du monde pour ce qui concerne les mosaïques romaines
Le site de Carthage
Le charmant petit village de Sidi Bou Said
La ville de Tunis
|
|
jeudi 7 novembre : Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats |
TAKOMI 1
... Lire la suite ...
A l'approche des fêtes une belle occasion se présente de découvrir la chocolaterie Takomi avec Sylvie Henrionnet, passionnée de thés après plusieurs séjours en Chine auprès de producteurs de thé, qui vous proposera des grands crus de thés et Laurence Veyer, artisan chocolatier confiseur, formée chez Alain Ducasse.
Ces deux intervenantes évoqueront les mille et une facettes des cacaos et des thés : leur histoire, leur répartition géographique et la manière de les cultiver, des procédés de transformation, des traditions associées à leur consommation. Elles proposeront aux participants de célébrer l'union subtile entre les délices chocolatés issus de fameux cacaos des quatre coins du monde et les meilleurs crus des jardins du lointain Orient.
Vous pourrez, au cours de cet atelier, découvrir des accords surprenants qui interviennent pendant la dégustation.
|
|
mercredi 13 novembre : Paradis Naturistes |
Commentée par Amélie Lavin, commissaire de l'exposition.
Mucem_PN_Digital-1300_975
... Lire la suite ...
Raphaël Chatelain, Nu dans les criques levantines, juin 2021 © Raphaël Chatelain.
Un nouvel engouement se manifeste aujourd’hui pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, ou encore le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Mais au fait, naturisme et nudisme, est-ce la même chose ?
En tant que musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, il semblait naturel que le Mucem cherche à explorer ce phénomène singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.Dans une scénographie solaire conçue par l’agence Trafik, l’exposition « Paradis naturistes » réunit 600 photographies, films, revues, objets quotidiens, peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.
|
|
jeudi 14 novembre : « Marseille 1900 – 1943, la mauvaise réputation » |
Exposition au MEMORIAL DES DEPORTATIONS
Vieux-Port-1943
Le Mémorial des camps de la mort, devenu depuis 2019 le Mémorial
... Lire la suite ...
Le Mémorial des camps de la mort, devenu depuis 2019 le Mémorial des déportations, rend compte désormais de la singularité de Marseille durant la Seconde Guerre mondiale : principale ville-refuge de la zone non occupée, ville transit, ville détruite, ville portuaire stratégique. Mais surtout, il contextualise au moyen de films, de témoignages ou de récits de victimes parce que nées Juifs ou réprimées en tant que politiques, résistants ou otages, les politiques de déportation génocidaire et de répression organisées à Marseille et sa région. Marseille a été marquée par la destruction du bas du quartier du Panier en janvier 1943.
L’exposition « Marseille 1900-1945, la mauvaise réputation » nous invite à comprendre comment cela a pu être possible, par une évocation de ce que fut la ville au cours des années 1900 à 1943.
|
|
vendredi 15 novembre : Conférence UTL : « Méditerranées ». Exposer une Méditerranée plurielle dans les musées d’ethnographie |
Par Camille Faucourt, conservatrice au Mucem et Co-commissaire de l’exposition
mediterranees
... Lire la suite ...
Aux 19e et 20e siècles, les artistes puis les ethnologues développent un intérêt croissant pour les espaces et les populations des rives Sud et Est du bassin méditerranéen. L’image qu’ils construisent de cette « autre Méditerranée » est plurielle, marquée par les stéréotypes, le contexte colonial et les projets d’exploitation économique, mais aussi par un intérêt sincère pour les modes de vie, les coutumes et les savoir-faire de ses habitants, qui se retrouvent exposés dans les musées d’ethnographie.
|
|
lundi 18 novembre : Visite de l'exposition « La Navale » |
navale
L’importance économique et sociale de l’industrie de
... Lire la suite ...
L’importance économique et sociale de l’industrie de la construction/réparation de navires à Marseille depuis le milieu du XIXème, et l’ampleur de ses soubresauts de croissance et de déclin, justifient pleinement la visite par les Amis du Mucem de ce lieu unique à Marseille. Développé depuis une quarantaine d’années par d’anciens compagnons de ces entreprises, l’Association Culturelle de la Réparation Navale, devenu « La Navale », rassemble maquettes, outillages, photos et vidéos permettant de comprendre l’enjeu de ces activités provençales, qui, de Port de Bouc à La Ciotat, ont pu rassembler environ 60% de l’activité de réparation navale française dans les années 70.
|
|
lundi 18 novembre : Théâtre : Ivo Pogorelich - Chopin, Sibelius, Schubert |
Au TNM LA CRIÉE
ivo-pogorelic-portrait-coverandrej-grilc_medium.jpeg
De retour depuis peu sur les scènes du monde après une longue
... Lire la suite ...
De retour depuis peu sur les scènes du monde après une longue absence, l'inclassable pianiste propose un récital empreint d'une lumineuse mélancolie.
Ivo Pogorelich est une personalité atypique dans le monde du piano, mais c'est avant tout son jeu qui en fait un musicien hors du commun.
Pour ce récital, Chopin sera accompagné de Jean Sibelius (Valse triste) et des Moments musicaux de Franz Schubert.
|
|
jeudi 21 novembre : Lectures gourmandes "Désert" de Jean-Marie Le Clézio |
Tour du Roy René
P1170008
TOUAREG.jfif
... Lire la suite ...
La toute jeune Lalla a pour ancêtres les "hommes bleus"; guerriers du désert de Rio de Oro, chassés et traqués du Sud au Nord par les conquérants français puis impitoyablement massacrés.
Mais le sang des "hommes bleus" a survécu en Lalla. La vie de la petite Maure dans un bidonville d'une grande cité proche de la mer, est constamment doublée, dominée par l'épopée chantante, obstinée, orgueilleuse que la race les maîtres d'autrefois avaient cru vaincre.
Lalla, enfant du désert, est fasciné par l'apparition d'un mystérieux "homme bleu", qu'elle nomme Es Er, c'est-à-dire "le secret". Aussi la puissance de la nature et des légendes, son amour pour le Hartani, un jeune berger muet qui lui fait découvrir son corps, ensuite une évasion manquée vers "leur" désert, avant l'exil à Marseille dans un quartier misérable où ses frères immigrés végètent, tout cela ne peut que durcir son âme lumineuse. Car Lalla a beau travailler dans un hôtel sordide, être enceinte du Hartani, devenir une cover-girl célèbre grâce à un photographe de mode ébloui par sa beauté, rien n'éteindra au coeur de la jeune femme sa foi religieuse et sa passion pour le désert. Un jour, elle y retournera toute seule, en rescapée de l'enfer des hommes.
|
|
lundi 25 novembre : Observatoire de Marseille - Association Andromède |
DSCF0025
DSC_1087
L'Association Andromède nous propose une explication du ciel
... Lire la suite ...
L'Association Andromède nous propose une explication du ciel de novembre à Marseille au planérarium, complétée par la visite d'un ancien télescope.
|
|
mercredi 27 novembre : Théâtre : Edène - Ecrit par Alice Zéniter |
Inspiré par Jack London au TNM LA CRIEE
Criéée
... Lire la suite ...
Édène, jeune femme précaire, veut écrire un chef-d’oeuvre car la littérature l'enivre, et elle désire conquérir Rose qu'elle vient de rencontrer.
Mais pour vivre elle doit travailler à la blanchisserie de l’abattoir, et passe ses nuits à écrire, avec acharnement.
L’autrice et metteuse en scène, par son écriture vive et incisive, traite de la violence de classe, d’amours contrariées et du précariat des auteurs et des autrices. Sur scène, la blanchisserie devient le décor principal en blanc et rouge, avec sa chorégraphie mécanique de gestes infiniment répétés.
Une ode aux femmes et à l’écriture qui fait écho à "Je suis une fille sans histoire", son précédent spectacle, joué à La Criée en 2023.
|
|
jeudi 28 novembre : Paradis Naturistes |
Commentée par Amélie Lavin, commissaire de l'exposition.
Mucem_PN_Digital-1300_975
... Lire la suite ...
Raphaël Chatelain, Nu dans les criques levantines, juin 2021 © Raphaël Chatelain.
Un nouvel engouement se manifeste aujourd’hui pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, ou encore le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Mais au fait, naturisme et nudisme, est-ce la même chose ?
En tant que musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, il semblait naturel que le Mucem cherche à explorer ce phénomène singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.Dans une scénographie solaire conçue par l’agence Trafik, l’exposition « Paradis naturistes » réunit 600 photographies, films, revues, objets quotidiens, peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.
|
|
vendredi 29 novembre : « Le Grand Bain » Exposition au Château Borély |
« comment bien se (dé)vêtir au soleil 1940-2000 »
le_grand_bain
Longtemps élitiste, la mer, en tant que loisir, se démocratise
... Lire la suite ...
Longtemps élitiste, la mer, en tant que loisir, se démocratise avec l’amélioration des voies de communication, la mise en place des congés payés de 1936 et le développement des sports nautiques. Elle attire aujourd’hui des millions de baigneurs venus sacrifier au rite de la plage, théâtre des dernières tendances «beachwear».
Du justaucorps unisexe et fonctionnel des années 1930 aux créations «couture», parfois décalées de stylistes contemporains, l’exposition « Le Grand Bain » permet de suivre l’évolution des moeurs et des goûts de la société à travers l’histoire du maillot – ou comment bien se (dé)vêtir au soleil !
|
|
mardi 3 décembre : Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats |
TAKOMI 1
... Lire la suite ...
A l'approche des fêtes une belle occasion se présente de découvrir la chocolaterie Takomi avec Sylvie Henrionnet, passionnée de thés après plusieurs séjours en Chine auprès de producteurs de thé, qui vous proposera des grands crus de thés et Laurence Veyer, artisan chocolatier confiseur, formée chez Alain Ducasse.
Ces deux intervenantes évoqueront les mille et une facettes des cacaos et des thés : leur histoire, leur répartition géographique et la manière de les cultiver, des procédés de transformation, des traditions associées à leur consommation. Elles proposeront aux participants de célébrer l'union subtile entre les délices chocolatés issus de fameux cacaos des quatre coins du monde et les meilleurs crus des jardins du lointain Orient.
Vous pourrez, au cours de cet atelier, découvrir des accords surprenants qui interviennent pendant la dégustation.
|
|
mercredi 4 décembre - samedi 7 décembre : Voyage à Paris |
MuseeOrsay
Découverte de quelques grandes expositions.
Programme
... Lire la suite ...
Découverte de quelques grandes expositions.
Programme en cours de finalisation.
|
|
vendredi 6 décembre : Espace Muséal Charles Fabry |
Université d'Aix-Marseille - site Saint-Charles
DRV_collections_Fabry
DRV_collections_Fabry 2
... Lire la suite ...
Venez découvrir l'espace muséal Charles Fabry qui a pour mission de sauvegarder et de faire connaître les instruments scientifiques et le mobilier de la Faculté des Sciences de Marseille. Ce patrimoine couvre un peu plus d’un siècle d’histoire des sciences !
Le musée comprend plusieurs salles d’expositions où sont réunis de nombreux instruments dans un mobilier datant majoritairement de la création de la Faculté des Sciences (site Saint Charles 1911).
Nous y serons accueillis par le responsable, Nicolas Claire, Maître de Conférences.
|
|
jeudi 12 décembre : Lectures gourmandes "La carte postale" Anne Berest |
Tour du Roy René
LA CARTE POSTALE.jpeg
... Lire la suite ...
«La carte postale est arrivée dans notre boîte aux lettres au milieu des traditionnelles cartes de voeux. Elle n'était pas signée, l'auteur avait voulu rester anonyme. Il y avait l'opéra Garnier d'un côté et de l'autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j'ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale, en explorant toutes les hypothèses qui s'ouvraient à moi;
Ce livre m'a menée cent ans en arrière. J'ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre. j'ai essayé de comprendre pourquoi ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation et les mystères qui entouraient ses deux mariages.
Le roman de mes ancêtres est aussi une quête initiatique sur la signification du mot "juif" dans une vie laïque.»
A la fois récit des origines et enquête familiale, ce roman se dévore.
|
|
vendredi 13 décembre : Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT» |
L'art de la lumière sous tous ses aspects
PHOTOS IMBER1
PHOTO IMBERT 2
PHOTO IMBERT 4
... Lire la suite ...
Le vitrail représente un véritable savoir-faire artisanal, capable de sublimer un intérieur grâce à ses jeux de lumières, de couleurs et de motifs qui le composent. Il témoigne aussi d'une époque, de son histoire sociale et esthétique.
L'Atelier "VITRAUX IMBERT", situé en plein coeur de Marseille, est une entreprise familiale créée en 1981 par Dominique Imbert.
Maître verrier, il s'est fait connaître en Fance et à l'étranger pour ses créations de vitraux dont ceux de la salle du Trésor de la Cathédrale Saint-Front à Périgueux, de la Chapelle Saint-Jean de Dieu à Lehon, de la Basilique du Sacré-Coeur à Marseille et de très nombreux édifices publics et privés.
Spécialiste de la création et de la restauration de vitraux, ce passionné a su en trois décennies faire perdurer l'excellence du métier tout en développant de nouvelles techniques.
Aujourd'hui dirigée par son fils Oleg J.Imbert, l'entreprise dispose d'une équipe experte et d'une reconnaissance lui permettant de participer à des chantiers d'envergure et de renommée internationale dont tout récemment celui des vitraux de Notre-Dame de Paris.
|
|
vendredi 20 décembre : Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT» |
L'art de la lumière sous tous ses aspects
PHOTOS IMBER1
PHOTO IMBERT 2
PHOTO IMBERT 4
... Lire la suite ...
Le vitrail représente un véritable savoir-faire artisanal, capable de sublimer un intérieur grâce à ses jeux de lumières, de couleurs et de motifs qui le composent. Il témoigne aussi d'une époque, de son histoire sociale et esthétique.
L'Atelier "VITRAUX IMBERT", situé en plein coeur de Marseille, est une entreprise familiale créée en 1981 par Dominique Imbert.
Maître verrier, il s'est fait connaître en Fance et à l'étranger pour ses créations de vitraux dont ceux de la salle du Trésor de la Cathédrale Saint-Front à Périgueux, de la Chapelle Saint-Jean de Dieu à Lehon, de la Basilique du Sacré-Coeur à Marseille et de très nombreux édifices publics et privés.
Spécialiste de la création et de la restauration de vitraux, ce passionné a su en trois décennies faire perdurer l'excellence du métier tout en développant de nouvelles techniques.
Aujourd'hui dirigée par son fils Oleg J.Imbert, l'entreprise dispose d'une équipe experte et d'une reconnaissance lui permettant de participer à des chantiers d'envergure et de renommée internationale dont tout récemment celui des vitraux de Notre-Dame de Paris.
|
|
lundi 6 janvier : Voyage à Tunis – Carthage - Sidi Bou Said |
A l’occasion de l’exposition « Salammbô » au Musée du Bardo
Bardo
Carthage
Sidi_Bou_Said
... Lire la suite ...
Le but de ce voyage est de découvrir, à l’occasion de l’exposition Salammbô dont Myriame Morel est Co-commissaire :
Le musée du Bardo situé dans un ancien palais du XIXème siècle à Tunis. Second musée du Continent africain après le musée Egyptien du Caire il est l’un des plus riches du monde pour ce qui concerne les mosaïques romaines
Le site de Carthage
Le charmant petit village de Sidi Bou Said
La ville de Tunis
|
|
mercredi 8 janvier : Théâtre - AU TNM LA CRIEE : PHEDRE |
Image
Robin Renucci reprend le chef-d'œuvre
... Lire la suite ...
Robin Renucci reprend le chef-d'œuvre de Racine qui dit un combat entre désir et transgression, poussé par la violence des sentiments qui animent Phèdre, la plus touchante et la plus mémorable victime de la passion.
Pour cette nouvelle version, les interprètes évoluent dans un espace scénique frontal, sans rien cacher de leurs états d'âme. Sur un plateau incandescent, ils font vibrer avec limpidité les alexandrins raciniens dans toute leur poésie et leur beauté funeste.
|
|
mercredi 5 février : Théâtre : TAIRE |
AU TNM LA CRIÉE
cover-taire_large-1
... Lire la suite ...
Texte, mise en scène et scénographie : Tamara Al Saadi. Tamara Al Saadi propose une réécriture sensible d’Antigone dans un spectacle choral qui, au-delà du mythe, interroge une adolescence qui ne parvient plus à penser son avenir.
Ébranlée par les études qui témoignent du mal-être d’une part grandissante de la jeunesse contemporaine, l’autrice et metteuse en scène tresse ici des « intimités de jeunes filles qui ne savent plus comment être au monde ».
Dans la lignée de ses créations précédentes, Tamara Al Saadi choisit une scénographie épurée qui laisse la place aux corps et aux imaginaires. La création sonore et musicale accompagne les comédien·nes dans cette fabrique d’un théâtre qui croit, en dépit de tout, à la poésie et à la douceur.